Le marché du vin rare et fin, tout comme le marché de l’art, est complètement déconnecté de la crise.
Les résultats des ventes pour l’année 2013, et les premières ventes de 2014 sont en constante progression. Que ce soit à Paris, Londres, New York ou Hong kong les résultats des ventes le prouvent.
Sotheby’s, Christies, Acker Merral & Condit, Artcurial ou encore Drouot, tous affichent des résultats records.
Tous les chiffres révèlent l’importance de la demande en vins fins et rares.
Les étrangers représentent, pour l’ensemble des maisons de ventes aux enchères, plus des deux tiers des acheteurs collectionneurs. Les Français, en léger retrait, attendent, impatients la reprise économique tant attendue …
Les derniers records:
131 600 € pour 12 bouteilles de Cheval Blanc 1947
6,3 millions d’euros pour la 153e vente aux enchères de Bourgogne des Hospices de Beaune.
10,5 millions d’euros à Hong kong, reflet de la demande croissante des vins de Bourgogne. Record pour Georges Roumier, Domaine Dujac, Romanée-Conti et Louis Jadot.
50 170 € pour une caisse de Romanée-Conti la Tâche 1990.
74 551 € pour une caisse de Domaine Romanée-Conti 1988.
48 234 € pour un lot de huit bouteilles du Domaine Comte Liger Belair, millésimés de 2002 à 2009.
Ces chiffres reflètent l’importance du marché du vin, et la demande croissante de ce secteur fait partie désormais des valeurs sûres. La demande est maintenant mondialisée et les plus values sont toujours au rendez-vous.
Les spécialistes en investissement grands crus apportent désormais l’opportunité, à chacun, d’investir sur un marché performant.