Pendant que les bruits de bottes se font entendre en Ukraine, le vent de panique s’empare des bourses du monde entier. Comme souvent en cas de crise politique majeure, les investisseurs sont les premiers touchés et perdent leurs plus values virtuelles, quand ce n’est pas leurs placements qu’il leur faudra reconstruire sur plusieurs années.
Paris – 2,66%, Francfort -3,44%, Moscou -10%, Londres – 1,49%, Wall street – 1,27% et cela ne fait que s’aggraver !
Pour 2014, il faudra s’attendre à une forte volatilité qui va jouer en défaveur des actifs comme des actions, obligeant les investisseurs à ouvrir les yeux sur des valeurs refuges, comme l’or sans certitude, les métaux rares, l’art et le vin.
Les investisseurs qui diversifient leurs placements sont à l’abri des caprices de la bourse. Le vin et l’art sont d’authentiques placements, tangibles et non virtuels.
Alors que l’explosion de la demande internationale ne faiblit pas, que les ventes aux enchères battent de nouveaux records, le climat s’installe dans le marché, en imposant une nouvelle donne, le mauvais temps. Ce changement climatique réduit la production et, de facto, fait augmenter les prix !
Bon nombre de professionnels de la finance, ou conseillers en gestion de patrimoine, refusent de proposer le vin comme placement alternatif à leurs clients, c’est à se demander si c’est par manque d’informations, ce qui est un non sens, ou tout simplement volontaire…!